Enlèvement de Coco : Sa Captivité...

**cococcinelle83** Dim 27 Sep - 21:44

Coco avait été jetée dans la barque, comme un vulgaire sac de betteraves, elle poussa un gémissement de douleur, et des larmes roulèrent sur ses joues. Elle sombra dans l'inconscience, mais entendait les brigands rirent et s'amuser, au moment de sa chute. Elle aurait aimé tous les tuer. Elle souffrait et ne pouvait même pas se soigner, elle avait les mains liées derrière son dos, sentait le sang couler le long de sa plaie, et savait très bien que si elle ne se soignait pas, elle pouvait y rester. La plaie était profonde, et le sang coulait en abondance, elle essaya d'ouvrir les yeux, elle devait lutter.

Elle pensa a ses enfants, et la douleur avait été pire que celle de sa césarienne et dieu sait qu'elle avait souffert lors de l'accouchement, elle était seule, personne pour la soutenir, c'était insoutenable cette douleur. Elle pensa a ses amis et au père de ses enfants, kami était certainement sur les routes comme a son habitude et luffy était a la compagnie, elle n’avait même pas pu lui parler, lui raconter les bons moments comme les mauvais avec les enfants. Elle aurai aimé lui dire que Jerem aimait les enfants comme si il était à lui, mais qu'elle n'oubliait pas qui était son vrai père. Elle aurai aimé que Luffy soit plus présent dans la vie des enfants.

Elle serra les dents se concentra, et réussi à ouvrir les yeux. Où était elle ? Il faisait noir... Coco se concentra, oui elle se souvenait, elle avait été rudement jeté dans la barque. Elle essaya de bouger et grimaça, ses yeux s’habituèrent petit a petit a l’obscurité. Elle regarda autour d’elle et chercha quelques chose pour se détacher, elle devait s’enfuir, coute que coute. Elle se déplaça en rampant quand elle entendit du bruit. Elle se remit sur le sol et attendit quelques instants. La barque avait l’air de ne plus bouger. Que se passait-il ? Étaient-ils arrivés ? Qu’allaient-ils faire d’elle ?

Un homme s’approcha d’elle, la souleva, et la pris sur son épaule, Coco serra les dents pour ne pas hurler de douleur. Elle ouvrir discrètement les yeux afin de voir où elle se trouvait, et surtout pour repérer les lieux, voir si par la suite, elle ne pourrait pas prévenir ses amis.
On l’emmena dans une vieille maison délabrée, elle s’étonna même comment elle tenait encore debout. Elle se posait milles questions... Comment se pouvait-il, que personne n’ai arrêté les brigands, alors qu’elle était sur l’épaule de l’un d’eux. Les gens ne se préoccupaient pas de leurs prochains ou alors avaient-ils peur ?
Elle savait qu’a Vienne ce genre de chose ne se serai jamais passé ainsi, les brigands auraient été interpellés et arrêtés, mais là, personne n’avait réagit.

Elle se fit jeter dans une pièce sombre qui sentait la moisissure et donc le renfermé. Coco attendit quelques instants puis tendit l’oreille pour guetter le moindre bruit. Quand la maisonnée fut calme, elle entreprit de bouger, et regarda autour d’elle, cherchant un objet pour trancher ses liens. La captive ne trouva rien que des saletés, elle se mit à ramper a la recherche d’un objet tranchant. Souffrant le martyre, mais pensant à ses enfants, son amour et ses amis, lui permit de trouver le courage de se battre pour s’en sortir.

Coco sursauta soudain... Elle entendit un bruit, et vit la porte s’ouvrir, l’un des brigands s’approcha d’elle et lui dit :

- Tiens la gueuse... Mange un peu, sinon on va dire qu’on te laisse crever, ce qu’on devrait faire à mon avis, âpres ce que tu as fait à deux de mes compagnons, tu mériterais de mourir petite trainée, ca joue au grande dame, mais on fait moin la maline maintenant...

L’homme la regarda de toute sa hauteur, et lui mit un grand coup de pied dans les cotes. Coco poussa un hurlement de douleur, attirant le chef des Malandrins. Celui-ci voyant ce que son acolytes avait fait, lui mit une grande claque derrière la tète, en lui disant :

- Espèce d’abruti ! Tu veux la tuer ?
- On a besoin d’elle si on veut une rançon, et il nous la faut en vie. Sort et t’approche plus d’elle maintenant.

Le meneur des brigands, ou du moins celui qui paraîssait l'être, se mit a sa hauteur et la redressa doucement, la regardant, il lui dit :

- Allez ma belle..., mange je ne veux pas qu’on dise que tu as été maltraité, et puis j’ai besoin de toi en vie. Même si je n'obtiens pas rançon, je te trouve plutôt à mon goût, et mes hommes se satisferont de toi aussi je pense...

Coco lui aurai bien craché la nourriture au visage, mais elle avait déjà réfléchi, et devait se nourrir pour prendre des forces, pour pouvoir s’enfuir, prévenir ses amis, afin qu’ils viennent la sauver. Elle se décida à manger jusqu'à la dernière bouchée de nourriture, les mains liées dans le dos, la tête penchée sur le plat, telle l'auge d'un cochon que l'on nourrissait avant de le saigner. Il la regarda ainsi hilare, un rictus sadique sur le visage, la bave prête à couler de ses babines rougies par l'alcool...
Puis le chef se leva, et s’en alla sans un mot, laissant là sa captive...

**cococcinelle83** Lun 28 Sep - 10:37

Coco regarda l’homme partir et poussa un soupir de soulagement, ils voulaient une rançon, ils avaient du rêver, ils ne pourraient rien tirer d’elle. Même si ses amis l’appréciaient beaucoup, il ne payera pas pour la récupérer. Elle se calla dans un coin reculé de la pièce dans un angle, et ferma les yeux, Coco devait se reposer juste un peu, pour récupérer. Elle s’assoupi peu de temps après, elle se revoyait à Vienne avec ses enfants, ses amis et son amour. Puis elle se vit à la Compagnie, les brigands, l’attaque..., elle sursauta et rouvrit les yeux trempée de sueur. La jeune femme regarda autour d’elle et se souvint qu’elle était prisonnière. Coco soupira et se dit qu’elle devait partir au plus vite. Elle voulu bouger mais grogna. Sa blessure lui faisait atrocement mal, mais si elle ne bougeait pas et ne sortait pas d’ici au plus vite, elle risquait de mourir dans ce trou a rat.

Elle se laissa tomber au sol, et commença à ramper vers la porte, quand celle-ci s’ouvrit. Le brigand qui l’avait violenté quelques instants plus tôt, était de nouveau là. Coco le regarda sans sourciller quand celui-ci dit :

- Alors la gueuse..., on tente de fuir ? Tu comptes aller où comme ca ?

L’homme la redressa violement, et la plaqua contre un mur, la relevant. Coco poussa un gémissement de douleur, l’homme sortit un couteau de sa poche l’approchant de son visage. Elle le regarda droit dans les yeux et malgré la peur qui l’envahissait, elle ne sourcilla pas. Il approcha son couteau, et lui fit une entaille sur la joue en disant :

- Ca, c’est pour celui que tu as tué !

Il lui fit alors une seconde entaille plus longue, et lui dit :

- Et ca, c’est pour mon camarade à qui tu as amputé un bras. Lui, on a failli le perdre, et il souffre le martyre. Alors pourquoi serait-il le seul à souffrir...?

Il lâcha Coco qui s’effondra sur le sol dans un bruit sourd, et sombra dans l’inconscience. Elle entendit des voix qui lui semblaient lointaines, une dispute, une bagarre, puis le silence... A ce moment là, ce fut le trou noir, elle sombra et s’enfonça dans l’inconnue, sous la douleur de ses blessures.

**cococcinelle83** Lun 28 Sep - 11:51

Pendant quelques jours Coco mangeait et dormait, elle était très affaiblie, sa blessure lui faisait terriblement mal. Elle essaya de se redresser et regarda autour d’elle, cela faisait quelques jours qu’elle avait été enlevée et n’avais pas réussi à s’enfuir. Et plus elle attendait et plus sa situation s’aggravait. Elle avait repérer les aller et venue de ses agresseurs, malgré sa semi conscience, elle avait repérer, les moments ou la maisonnée était vide. Elle attendit patiemment qu’ils quittent la maison.

Au bout de quelques heures, le calme se fit dans la maison, elle rampa jusqu'à la porte, se redressa dans un gémissement de douleur, et accéder avec beaucoup de mal a la poignée de la porte. Elle réussit à se redresser avec beaucoup de mal et ouvrit la porte. Elle manqua de tomber et se rattrapa de justesse à une chaise qui était prés de la porte. Elle reprit sa respiration, puis s’appuyant sur tout ce qu’elle pouvait trouver, elle avança avec difficulté vers la porte.

La main tremblante, elle prit la poignée, elle la tourna et ouvrit la porte. La lumière du jour l’éblouissant elle ferma les yeux surprise, ses yeux habituer à l’obscurité depuis si longtemps, avait du mal à tenir sous la lumière du jour. Elle lâcha la porte, et avança vers la sortie, se tenant au mur.

Des gens passaient la regardant étrangement, c’est vrai qu’elle devait être lamentable, ensanglanter et balafre. Elle regarda autour d’elle cherchant une âme charitable qui pourrait l’aider dans cette ville inconnue. Elle aurai aimé savoir ou elle était, elle longea le mur de la maison quand soudain une main l’agrippa, elle poussa un cri et voulu se débattre mais s’arrêta net en voyant la jeune femme.

Celle-ci mit on doigt sur ses lèvres pour lui faire comprendre de se taire. Elle aida Coco à se lever et l’aida à marcher s’enfonçant dans des ruelles sombres. Coco lui suivit son dire un mot, la jeune femme lui parut sympathique, et de toute façon elle n’aurai pas eu la force de se battre même contre la jeune femme. Au bout de quelques minute, elle arrivèrent devant une belle maison, la jeune femme ouvrit la porte, puis l’aida a entrer, elle prit soin de refermer a clef derrière elle, puis entraina Coco dans une pièce, agréablement aménager, ou il sentait bon le pain chaud, et ou la chaleur de la maison, indiquait que la jeune personne n’avait pas de mauvaise intention a son égard. Elle installa Coco dans un canapé en ayant pris soin de mettre un drap dessus afin de ne pas le salir et prit enfin la parole.

- Bonjour demoiselle, désole de vous avoir accosté de cette manière, mais vous aviez l’air désemparer, et apparemment gravement blesser. Et puis ca fait quelques jours que je passe et que je vois le manège de ces hommes qui vivent dans la maison, et beaucoup de monde au marche parle d’une jeune personne qui aurai été enfermé la dedans. Et quand je vous ai vu sortir de la, je me suis dit c’est l’occasion rêver de vous sortir de la.

Coco regarda la jeune femme parler sans s’arrêter, elle esquissa un sourire, et voulu parler, la jeune femme regarda Coco et sourit, elle se leva et alla chercher un verre d’eau, puis revint prés de Coco, la redressa un peu et l’aida à boire.

- Merci madame …. Pouvez-vous me dire ou je suis ?

- Bien sur vous êtes a saint Bertrand de Comminges, prés de Tarbes, je suis Quezala et vous d’où etes vous et que faite vous ici ?

- Je suis coco, je suis sergente a vienne dans le ld, et ce que je fais ici, je ne le sais point, je me rappelle m’être battue contre des brigands et je me suis retrouver ici apres avoir été gravement blessé. Il faut que je previenne mes amis pour leur dire que je suis en vie et ou je suis

Coco voulu se lever et poussa un gemissement de douleur, elle posa sa main sur sa blessure et vit le sang, elle n’avait pas été soigné, sa blessure saignait sans cesse. Quezala fit signe a la jeune femme de pas bouger, elle parti dans la salle d’a coter et revint avec une plume, et des parchemins pour écrire, ainsi que son pigeon quelques peu en manque d’équilibre. Coco réussi à sourire en voyant le pigeon très vigoureux, mais pas très stable. Elle commença à écrire à son amour pour le prévenir qu’elle allait bien. Puis elle écrivit à Paeins, pour lui dire ou elle se trouvait, et qu’elle était toujours en vie.

Cher Paeins

Je suis encore en vie, mais dans un état plus que critique, j’ai été malmené par les brigands, mais j’ai réussi à leur fausser compagnie. Je suis a saint Bertrand de Comminges, pourrait tu envoyer une équipe pour me chercher, je n’aurai pas la force de rentrer seule, j’ai besoin de soin au plus vite.

Je te remercie par avance, profites en pour rassurer tout le monde a la compagnie, mais leur dit pas que je suis blesser

Je t’embrasse tendrement

Coco

Elle enroula ensuite les parchemins, en laissant des traces de sang malencontreuse, et les mit aux pattes du pigeons afin que celui-ci délivre les messages aux personne destines. Quezala, prit le pigeon et l’aida à s’envoler. Coco épuiser ferma les yeux quelques peu rassurer de savoir que ses amis recevront son message

**cococcinelle83** Mar 29 Sep - 20:57

Coco dormit toute la nuit, plus une grande partie de la journée, elle se savait en sécurité, chez la jeune femme. Le pigeon était parti prévenant ses amis et ses proches qu’elle était en vie. Elle dormit sans le moindre cauchemar, et malgré sa blessure, elle réussit à se reposer.

Le lendemain elle se réveilla en début d’après midi, son ventre lui faisait défauts, elle avait rien du manger de bien consistant depuis une bonne semaine. Elle regarda autour d’elle, on aura dit qu’elle était seule. Elle décida de se lever et grimaça. Se levant du mieux qu’elle put, elle se dirigea en titubant vers la cuisine.

Quezala était la, elle l’accueillit avec un grand sourire et lui dit :

- Alors comment avez-vous dormit Coco ?

- Bien merci beaucoup de votre gentillesse.

- Mais de rien, vous devez avoir faim, allez vous installez et après je vous montrerais ou vous laver et je vous donnerais des vêtements plus confortable.

Coco sourit à la jeune femme et s’installa à table se déplaçant doucement et difficilement, elle s’assied et Quezala apporta le repas. Coco était morte de faim, elle mangea sans se rendre compte qu’elle était la seule à manger, la jeune femme ayant déjà mangé quelques instants plus tôt. Puis une fois le repas terminé, Coco regarda Quezala gêner et lui dit :

- Je suis désole de mon manque de courtoisie et de politesse, j’ai mangé comme une vorace, je m’en excuse.

Quezala sourit et lui répondit :

- Ne vous en faite pas c’est fait pour et puis moi j’ai déjà mangé, aller venez maintenant que vous vous êtes restaurer, je vais vous montrer ou vous pouvez vous laver et enlever toute ce sang. Et puis… on verra comment soigner ca mais je vous préviens je ne suis pas douer pour soigner les blessures.

Coco esquissa un sourire puis aider de sa sauveuse, elles se dirigèrent dans la salle d’eau, elle aida Coco à se dévêtir puis a se laver. Celle-ci avait du mal à faire certain mouvement du a sa blessure, et Quezala l’avait remarqué.

Une fois propres et avec moins de sang, Quezala ouvrit de grand yeux horrifier qui firent peur a Coco. Celle-ci regarda la jeune femme et lui demanda :

- Que se passe-t-il ?

- Votre blessure…. Elle a l’air très profonde. Je suis désolée mais je ne vais pas pouvoir soigner, je suis incapable de le faire, et puis ….. Vous n’avez pas été blessé que la mais aussi au visage. Oh malheur, il ne vous on pas arranger c’est bougre.

Coco regarda la jeune femme horrifier par toute les blessures pour certaine superficielle, elle la regarda et lui dit d’une voix qui se voulais rassurante.

- Ne vous en faite pas c’est rien, je n’ai pas mal du tout, si vous avez un bandage ca tiendra bien comme ca, pour ce qui et de recoudre je trouverai bien quelqu’un qui pourra s’occuper de ca sinon, on laissera comme ca.

La jeune femme ne dit mot mais elle ne pouvait s’empêcher d’être inquiète pour Coco, la blessure était profonde et malgré son peu d’expérience, elle savait très bien qu’elle devrait être recousue. Coco de son coter, serrait les dents, la douleur était plus présente qu’elle ne voulait le dire a Quezala, mais elle ne voulait pas l’inquiéter non plus. Elle prit les vêtements que lui tendit celle-ci. C’était une robe longue légèrement décolleter, elle sourit pensant qu’au moins la robe cacherai ses blessures les plus importantes. Puis se retourna vers la jeune femme elle lui demanda :

- Excusez moi de vous demander encore ca mais …. Vous auriez des ciseaux et de quoi me teindre les cheveux ? S’il vous plait. Je ne veux pas que les brigands me retrouve et je dois changer de tète a tout prix.

Coco regarda Quezala, celle-ci acquiesça et revint quelques instants plus tard avec une paire de ciseaux et de quoi la rendre brune. Elle entreprit de couper les cheveux de Coco et lui teint les cheveux. Une fois fait, Coco se leva et alla se regarder dans une glace pour voir la tète qu’elle avait. Elle sourit en voyant la tète que ca lui faisait, mais elle soupira, elle aimait tellement ses longs cheveux et la a cause de toute cette histoire, elle avait du se les couper au plus court pour passer inaperçue. Elle toucha ses deux balafre qu’elle avait et grimaça, elle avait légèrement mal mais ca n’était rien comparer a ce qu’elle ressentait, a la douleur qu’elle éprouvait, ses amis lui manquaient, ses enfants, elle avait besoin d’eux, et Jerem, elle espérait qu’il allait bien, qu’il tenait bon. Elle savait bien que si Jerem et les enfants n’avaient pas été la elle aurait peut être pas eu le courage de tenir et de se battre. Elle pensa a ses amis et esquissa un sourire eux aussi elle avait hâte de les revoir.

**cococcinelle83** Mer 30 Sep - 20:21

Le lendemain matin

Coco se réveilla, elle regarda autour d’elle cherchant où elle était, elle se souvint, elle resta allongée plusieurs minutes, puis elle se leva doucement se tenant le coté blessé. La jeune femme regarda autour d’elle, puis des larmes roulèrent sur ses joues. Elle n’avait pas de nouvelles de ses enfants, de Jerem, de ses amis. Elle espérait qu’ils ne l’avaient pas oublié et qu’elle aurai bientôt de leurs nouvelles. Elle se calla contre le dossier du canapé et ferma les yeux, elle avait besoin d’eux, elle avait besoin de ses enfants, ils étaient tout pour elle, ils lui avaient permis de tenir quand Luffy et elle s’étaient séparés. Elle n’avait pas voulu le dire, mais la séparation avait été douloureuse, malgré que ca soit elle qui l’ai quitté, mais il l’avait bien vite remplacé par une autre. Elle avait eu très mal quand elle apprit qu’il l’avait oublié en une nuit, elle avait mis plus de temps pour l’oublier, et d’ailleurs elle ne l’avait pas oublié entièrement, elle repensait souvent a lui et au bon moment qu’ils avaient eu ensemble. Elle aurai tellement aimer qu’il ne fuit pas Vienne et qu’il reste pour les enfants. Elle soupira et secoua la tète, elle devait se reprendre et pas se laisser abattre ce n’était pas le moment.

Elle décida de se lever et se rattrapa au dossier d’une chaise, elle ferma les yeux, prise de vertiges. Coco passa difficilement sa main sur sa plaie, et vit le sang l'imprégner, il ne cessait de couler, et elle s’affaiblissait de jour en jour. Malgré le repos et le fait qu’elle se nourrissait un peu, elle perdait des forces chaques jours. Perdue, elle espérait que ses amis arriveraient bientôt, pour la ramener en sa belle ville de Vienne. L'inquiétude la gagnait aussi car elle avait besoin d’un médecin, sachant qu'elle n’avait pas la force de se soigner seule, trop faible pour cela.

Coco essaya de lutter et s’avança difficilement, vit un mot poser sur la table, elle le prit et le lu

Coco

Je ne serais pas la aujourd’hui, je travaille toute la journée
Je ne serais là que dans la soirée, si tu as faim, il y a de quoi manger dans le placard.
Oui ! Dans la réserve..., et si tu veux te balader, je t’ai mis un bâton... pour t'aider à te déplacer.
Il est dans le coin, pour que tu puisses marcher sans soucis.

Je te dis à se soir...,

Bisous !

Quezala

Coco esquissa un sourire, elle vit le bâton posé là où elle l'avait stipulé, se dirigeant vers celui-ci pour le prendre, elle s’effondra, poussa un cri de douleur, et ne bougea plus. Puis, avec grand efforts, roulant d'abord sur le coté, se maintenant penchée en avant, pour préserver sa blessure, elle sanglota sous la douleur, devant se relever et se soigner, même si ce n’était que superficiellement. Prenant appui sur le bâton, celui-ci dans un premier rippa, et chu, tombant au sol. De nouveau à terre Coco rampa, saisissant de nouveau le bout de bois dans la main, elle s'arcquebouta après lui et s'arracha ainsi des carreaux de terre cuite du sol, pour se laisser tomber dans le canapé. Elle s'était hissée avec beaucoup de mal sur celui-ci, et resta assise sans bouger le temps de reprendre ses esprits, et pied un peu plus sur... Au bout de quelques minutes, elle se redressa s’appuya de nouveau de sa canne, et se dirigea dans la salle d’eau.

Elle fouilla et trouva enfin son bonheur. Découvrant un vieux drap, elle le déchira et commença à se l’enrouler autour du buste, afin de s'en faire un bandage. Puis cela fait, elle repris la direction du canapé, se sentant désemparée, ne voulant compter sur personne d'ordinaire, elle était en ce moment, obligée de demander de l’aide.
Coco mit sa main à son cou, jouant avec le pendentif que lui avait offert Jerem. Puis elle regarda sa main et esquissa un sourire... "le cadeau de Paeins"..., il ne l’avait pas quitté, depuis que celui-ci lui avait offert, puis elle vit le bague de son amour et de nouveau des perles ruisselèrent le long de ses joues, macculant sa peau de pêche d'un voile humide.
Rêvant de l’épouser bientôt, et de lui donner l’enfant qu’il aimerait tant avoir, elle se toucha le ventre et grimaça. Avec sa blessure, ils allaient devoir être prudents, et surtout être patients..

Coco essaya de ne pas pleurer, et ferma les yeux, concentrée à se détendre, elle se remit en position allongée sur le canapé. Coco ferma les yeux épuisée et malheureuse. Son crâne en ébullition, à force de chercher une solution, pour obtenir des nouvelles, l'espoir que ses pigeons étaient arrivés à destination..., tout se mélangeait et apprettait la confusion en son âme perturbée. Elle rouvrit les yeux, et fixa le plafond tristement. Elle devait se secouer, mais n’avait pas la force de bouger, étant trop faible.
"Se ressaisir..." Pensa t'elle..., de nouveau en appui, elle se redressa, serrant les dents, puis une fois sur son séant, elle décida d’aller dans le jardin, prendre un peu l’air, en se reposant sur le banc entouré de fleurs multicoores, tout contre le mur d'enceinte. Coco admira le jardin, repensant au sien, respirant les douces odeurs des fleurs..., l'âme de nouveau sereine grace à leur elixir... Pointant alors son regard sur le ciel bleu, elle écouta le doux chant des oiseaux, sifflottant un air joyeux de quoi lui redonner sourire et espoir en l'avenir.
Une pensée lui vint, celle de partager ce moment de délice, avec ses proches. Tous ses amis, sa famille...Une grimace apparue sur son visage..., sentant la douleur de sa blessure, puis ferma les yeux, essayant de penser à son retour prochain.
Quant elle les rouvrit, elle décida de bouger un peu, et retourna toujours claudiquante dans la maison, choisissant ce coup-ci une chaise comme assise. Elle prit de quoi écrire, dont la plume qui se trouvait sur la table, ainsi que des parchemins vierges, et se mit à écrire à ses proches... Cela fait elle libéra les pigeons, pour qu'ils prennent leur envol, espérant qu’ils trouveraient les destinataires.
Coco lasse, reposa alors la plume, ferma l'encrier et se laissa choir sur le canapé, pour s'endormir épuisée.

**cococcinelle83** Jeu 1 Oct - 21:58

Coco sursauta en poussant un cri terrifiant, elle se redressa et gémit sous la douleur, elle était tremper de sueur, et avait mal. Elle regarda autour d’elle effrayer et soupira rassurer, une fois qu’elle eu fait le tour des lieux avec un simple regard. Elle espérait ne pas avoir réveillé sa nouvelle amie, et regarda en direction de la pièce ou elle dormait. Au bout de quelques minute elle poussa un soupire de soulagement, et décida de s’assoir dans le canapé. Son rêve, elle voulait l’oublier, oublier cette histoire, elle voulait rentrer chez elle auprès des siens. Elle supportait plus de rester aliter et de ne pouvoir rien faire, elle aimerai prendre son épée et tuer c’est brigand et leur faire mordre la poussière.

Elle souffrait, et elle ne supportait plus cette situation, tendant le bras elle attrapa le bâton, et se leva en s’appuyant dessus. Elle s’habilla en grimaçants sous la douleur, puis prit de quoi écrire et laissa un mot a son amie

Salut

Je suis désole mais je dois régler certaine chose,
Ne m’en veux pas, je te remercie de ton aide.
Si je ne reviens pas et que tu croise mes amis…
Dit leur que je les aime et qu’ils me manqueront

Gros bisous

Coco

Elle déposa le mot en vu sur la table et se dirigea vers la porte avec beaucoup de mal, ouvrant la porte, elle regarda une dernière fois derrière elle et sortit dans la nuit noire et froide.

Coco marchait et s’enfonçait dans la nuit, elle avança, boitant et souffrant, serrant les dents pour ne pas gémir sous la douleur. Elle marchait dans les ruelles, errant et cherchant de quoi se battre. Elle s’appuya contre un mur le temps de reprendre son souffle et de se reposer un peu, puis au bout de quelques minutes reprit sa marche dans les rues de la ville. En passant devant une taverne, elle entendit des rires et des chants, elle esquissa un sourire lui rappelant sa taverne, les moments de joies comme les peines qu’elle y avait vécu. Elle haussa les épaules et décida d’y rentrer, elle aura tout le temps de leur régler leur compte. Elle poussa la porte de la taverne, et elle resta planter au milieu terrifié. Ils étaient tous la, celui a qui elle avait coupé le bras, le chef des brigands et les autres, scrutant la pièce elle ne vit pas celui qui l’avait sauvagement frappé d’un cou de pied.

Hésitante a rester et a aller s’assoir, elle se dit que ca serai la meilleure façon d’étudier leur comportement, d’en savoir plus sur eux, c’était une meilleure tactique et une façon plus simple pour les attaquer. Elle alla s’assoir au fond de la taverne, les hommes l’avaient à peine calculé, apparemment ils ne l’avaient pas reconnue, elle s’assied à une table et écouta la conversation.

- Tavernier une tournée général pour mes camarade et moi-même et plus vite que ca.

L’homme éclata de rire et se retourna vers ses compagnon et commença à parler avec eux ignorant complètement la présence de la jeune femme au fond de la taverne.

- Bon les gars faut retrouver la gueuse avant qu’elle alerte du monde, remarquer vu dans l’état ou elle est et vu la ville ou nous sommes personne ne serait assez fou pour l’aider, donc… soit elle et en train de crever dans un coin, soit … un fou la aider

A ces mots l’homme regarda Coco avait un rictus et lui dit

- Que vous et il arriver demoiselle ? Vous êtes vous faite attaquer ?

Coco pâlit légèrement déstabiliser puis reprenant son sang froid elle lui dit

- Non, monsieur je me suis blessé en m’entrainant à manier l’épée

L’homme éclata de rire suivit de ses compagnons, Coco baissa la tète furieuse, voulant lui faire la peau, mais elle ne bougea pas restant stoïque et essaya de ne pas montrer son envie de le tuer, elle aurai aimé l’égorger de ses mains, sortant de ses pensées quand l’homme lui dit

- Ca me rappelle une très bonne amie a moi qui disait bien se battre et qui s’et faite attaquer par des hommes peu recommandable.

Coco serra les poings voyant de quoi l’homme parlait, il était en train de se moquer d’elle sans savoir que la femme qu’ils recherchaient était la en face de lui. Elle ne dit pas un mot et se contenta de plonger la tète dans la choppe de bière que lui avait apporté le tavernier. Elle fulminait, rêvant de lui transpercer le corps, de le torturer, de le faire souffrir a un point qu’il se souviendrait d’elle toute sa misérable vie. Coco resserra ses mains sur la choppe les entendant rire et parler d’elle comme si de rien était. Puis lui d’eux parla d’une chose qui attira son oreille, et la tendit comme si de rien était.

- Par contre tu n’auras pas du tuer Sam, il était peut être idiot mais il aurai réussi a la faire parler et tant qu’il était la, elle aussi était la, elle ne s’était pas enfuie, mais non monsieur a préférer le tuer tout ca parce qu’il a entailler le minois de la demoiselle.

Coco ramena discrètement la capuche de sa cape sur son visage et se leva, elle avait oublié ce détail. Arrivée à la porte elle entendit le chef lui dire

- Ba alors ma jolie tu pars déjà ? Tu ne va pas nous laissez comme ca, mes hommes tu verras son de bon bougre je suis sur qu’ils te donneront du plaisir.

Elle ne se retourna pas des larmes perlèrent sur ses joues, posant la main sur la poignée de porte, s’apprêtant à ouvrir, l’un deux l’attrapa par le bras, la faisant gémir sous la douleur. L’homme l’attira a lui, il sentait la bière et elle grimaça, il sentait mauvais, il n’avait pas du se laver depuis des mois, il souriait, on ne voyait que ses dents noirs pourrit et toute carier. Elle tourna la tête quand celui-ci voulu l’embrasser, elle le repoussa du mieux qu’elle put provoquant le délire dans la salle. Elle manqua de s’étaler, mais réussi à se stabiliser, le regardant dans les yeux, sentant le sang couler de sa plaie, elle voulu fuir le plus vite possible. Mais ou était ses amis, que faisait-il ?

**cococcinelle83** Sam 3 Oct - 13:11

Coco reussit a se degager de l'homme non sans avoir grimacer sous la douleur, elle ouvrit la porte sans se retourner et reparti en direction de la maison de sa nouvelle amie. Au bout d'une bonne heure de marche, suite a de nombreux arret sur le chemin du a sa blessure, elle arriva devant la maison.

Posant sa main sur la poigner, elle ouvrit la porte legerement hesitante, entrant et jettant un coup d'oeil rapide dans la piece, elle poussa un soupir de soulagement, voyant que la jeune femme dormait encore.

Elle se dirigea vers le canaper a bout de force et se laissa tomber sur celui ci epuiser et poussa un gemissement de douleur a l'atterissage sur les coussins. Ca blessure la faisait souffrir et elle ne guerrissait pas aussi vite qu'elle aurai voulu. Epuisee et a bout de souffle, Coco s'endormit, mais ses reves furent agitee, elle revoyait la taverne, les brigands, leurs regard haineux et sadique, elle ne pu s'empecher de frissonner dans son sommeil.

Quelques heures plus tard Coco se reveilla trempee de sueur, elle se redressa un peu grimacant et passa le dos de sa main dans son dos, la ou se trouvait sa plaie et elle constata que celle ci saignait toujours, la jeune fille soupira desesperer, et se remit en position allonger sur le canape. Essayant de se rendormir, mais sans y arriver, elle fixait le plafond pensant a ses amis, ses enfants, son fiance et son chez elle. Des larmes de rage roulerent sur ses joues, pourquoi n'avait elle pas reussit a les faire fuir ? pourquoi l'avait il enlever ? Elle n'avait aucune valeur, elle n'etait pas une noble, ni une jeune femme fortuner, elle aurai aimer comprendre ce qui s'etait passer et pourquoi elle s'etait retrouver la.

Tout a coup Coco sursauta, entendant du bruit derriere elle, elle se redressa dans un gemissement de douleur et vit Quezala en train de se lever. Celle ci vit la jeune femme reveiller et lui dit

- Bonjour Coco, avez vous bien dormi ?

Coco regarda Quezala et lui sourit

- Non pas super bien, mais c'est normal avec cette blessure qui me travaille je ne trouve pas le sommeil et vous ?

- Ohhh moi j'ai dormis comme un bebe, je me suis fait une nuit complete

Coco esquissa un sourire au parole de la jeune femme, puis celle ci vaqua a ses occupations pendant que Coco se recoucha et ferma les yeux histoire de se reposer

**cococcinelle83** Mer 7 Oct - 14:34

Les jours passaient et se ressemblaient, Coco passait ses journees a se reposer, elle en avait marre, l'inaction, la tuait a petit feu, sa blessure avait du mal a cicatriser. Plus les jours passait et plus elle etait faible. Chaque jour elle priait pour que ses amis vienne la chercher, pour qu'il a ramene chez elle. Elle bougeait peu du canaper, elle mangeai peu, elle avait perdu l'appetit.

Coco soupira fixant le plafond, tristement, laissant des larmes de coleres et de douleurs rouler sur ses joues. Elle devait prendre une decision, elle allait partir, seller une monture et prendre la route. Elle savait que c'etait inconscient surtout dans son etat mais elle ne pouvait plus rester allonger. Elle decida d'attendre son amie pour lui expliquer et lui demander de l'aider.

Dans la soiree Quezala rentra de son travaille. Coco la regarda et l'appella.

Quezala, coucou.

Salut Coco, tu va bien ? J'espere que tu t'ennuie pas trop toute seule

Si je m'ennuie et j'ai besoin de toi si tu peux encore me rendre un service ca serra le dernier

Coco regarda Quezala et attendit la reponse de celle ci

Oui bien sur si je peux t'aider je le ferrai avec plaisir

Coco prit une grande inspiration et dit

J'aimerai partir, je sais que je suis pas en etat mais je peux plus attendre, ma famille, mes amis, mes proche me manque, je dois partir. Il me faudrait un bon cheval et de quoi manger sur la route

Quezala soupira mais aquiesca, au fil de temps, elle avait appris que Coco etait tetue et obstiner, et que rien ne la ferai changer d'avis.

Ok Coco je t'aiderai demain matin je te trouverai un cheval et on l'equipera pour que tu puisse partir

**cococcinelle83** Jeu 7 Jan - 13:59

Le lendemain matin Quezala aida Coco a preparer le cheval, puis mis dans les besaces de chaque coter de l'animal de quoi manger et se soigner sur le chemin. Coco remercia chaleureusement Quezala, celle ci aida Coco a monter et a se tenir sur le cheval du mieux qu'elle put. Coco fit un sourire a sa nouvelle amie, puis lui dit:

Je te remercie pour l'aide que tu m'a apporter je ne l'oublierai jamais, et je repasserai te voir des que j'irai mieux.

Son amie sourit a ses paroles sans dire un mot, elle tapa doucement les flancs du cheval afin que celui ci s'en aille. Coco se retourna une derniere fois faisant un signe de la main a Quetzala, puis s'accrochant aux renes malgres sa blessure, elle alla a vive allure pour rentrer chez elle au plus vite. Elle voyagerai de nuit et se reposerai la journee essayant d'eviter les routes ou elle pourrai se faire reperer, la jeune femme esperait pouvoir rentrer entiere, si l'on peut dire cela, vu son etat actuel... A peine son voyage commencé, qu'elle pensait a plein de chose, ses amis, sa famille, son amour, et ses enfants..., la reconnaitrait-ils ?
Coco angoissait déjà à cette idee, ne pas la reconnaitre était le pire de tout. Elle etait fatiguer, la route etait longue et sa blessure malgres les pansements, ne faisait que saigner. Elle avait mal et souffrait atrôcement, aidé en cela par une douce pensée, un espoir..., rencontrer ses amis qui avaient du partir a sa recherche.

**cococcinelle83** Mar 19 Jan - 20:25

Coco cheminait depuis déjà quelques jours mais elle aurait été incapable de dire combien exactement, maintenant assez loin de saint Bertrand, elle se remettait après une courte halte, sur les routes pour y croiser ses amis espérait-elle, si ceux ci étaient sous toute logique, partis à sa recherche.

Traversant les bois calmes, la chaleur se faisait sentir malgré la fraicheur de leur ombrage..., et sa blessure la faisait toujours autant souffrir. Talonnant sa monture doucement pour accélérer le pas, un craquement la fit brusquement se retourner. Un instant d'inattention et elle se retrouva par terre.

Le cheval ayant eu peur s'était cabré, la projettant ainsi désoeuvrée à bas... Si elle avait été plus vigoureuse et donc plus forte, jamais elle ne serait tombée de cheval.
Mais là, elle était blessée et fatiguée, harassée. Etendue sur le sol, incapable de bouger, la douleur la tenaillait amèrement, lui arrachant gémissement de ses entrailles, en dépit du courage dont elle faisait preuve. Décidant de ne plus bouger, sa monture heureusement et encore bien sagement à ses cotés, savourant la pâture qui s'offrait naturellement à elle, Coco eut soudain une violente douleur, qui la fit sombrer dans le noir complet, la laissant inconsciente le long du chemin boisé.

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Enlèvement de Coco : Sa Captivité...

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